fatiguer le papier
Au troisième jour de ce second séjour, je n’ai pas encore allumé la radio, ni la télévision qui m’est si peu familière. La musique que j’ai apportée est restée dans le sac. J’ai ôté la pile de la pendule et le silence n’est troué que par l’activité d’une mouche. Cette fois, un seul livre m’accompagne : le gros volume de notes sur la peinture de Gérard Titus-Carmel publié à l’Atelier Contemporain.